Gastronomie : Vaucluse, terre d’étoiles…
- 9 février 2016
- Jamil Zéribi
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Avec deux étoiles la Bastide de Capelongue du chef Edouard Loubet (photo ci-dessus) à Bonnieux reste le chef de file de la gastronomie vauclusienne dans la dernière édition du guide Michelin. Ce dernier figure dans les 593 établissements français à obtenir au moins une étoile.
Dans le département, 11 autres bonnes tables ont été distinguées dans cette édition 2016 du célèbre petit livre rouge. Il s’agit de Christian Étienne à Avignon, la Petite Maison à Cucuron, l’Auberge la Fenière à Cadenet, la Closerie à Ansouis, les Bories à Gordes, Chez Prévôt à Cavaillon, le Vivier à l’Isle-sur-la-Sorgue, le bistrot de Lagarde avec deux étoiles la Bastide de Capelongue du chef
Edouard Loubet à Bonnieux à Lagarde d’Apt, le Pré du Moulin à Sérignan-du-Comtat et Xavier Mathieu à l’Hostellerie le Phébus à Joucas. A cela s’ajoute un petit nouveau cette année : le chef Léo Forget le restaurant Pèir de la Bastide de Gordes.
Sur Avignon, les étoilés gardois de l’agglomération, le Prieuré à Villeneuve-lès- Avignon ainsi qu’entre Vigne et Garrigue à Pujaut conservent leur étoile. Plus loin, le Domaine de Bournissac aux Paluds-des-Noves, l’Ousteau de Baumanière (deux étoiles) aux Baux-de- Provence, la Chassagnette et l’atelier de Jean-Luc Rabanel (deux étoiles) à Arles ainsi que la table d’Uzès viennent compléter l’offre gastronomique provençale.
Côté sortie le Saule Pleureur à Monteux, le Diapason et la Vieille fontaine de l’hôtel d’Europe (ce dernier ayant changé de chef en cours d’année) perdent leur étoile.
Par ailleurs, le Vaucluse compte également 15 restaurants classés «bib gourmands» et 66 classés en «Assiette Michelin», une nouvelle catégorie du guide basée sur la «qualité des produits» et «le tour de main du chef» pour un «bon repas tout simplement».
Crédit Photo : DR
Cet article a été rédigé par la rédaction de l’hebdomadaire économique « L’Echo du Mardi ». Vous pouvez vous procurer ce journal en vous abonnant. Renseignements Site web : ECHO DU MARDI
- 9 février 2016
- Jamil Zéribi
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